Robert vendredi 3 juin 1977 chevallissime suite
Robert vendredi 3 juin 1977 chevallissime suite
Deux heures de sommeil, pour moi, ce n'est pas suffisant.
Et quand je dis deux heures, je suis large car une heure serait plus juste parce que, énervé, je n’arrivais pas à m’endormir.
C'est Marion qui retrouve le stylo… en marchant dessus.
La plume est tordue mais il écrit et... il coule.
Je déteste Gâche. Et là, je sais que je ne suis pas le seul.
Petit déjeuner vite avalé, je fini de copier avant d'aller en cours.
Je demande à Jussieu de me pincer s'il me voit piquer du nez. Il ne s'en prive pas.
A midi, je me rappelle que je devais faire trois tours de cours. Je prends le risque de miser sur un oubli aussi de Gâche. Le soir, c'est lui qui passe éteindre.
- Weissenbacher, demain six tours !
Il n'avait pas oublié.